[1 septembre 2007, au soir]

Enimia préféra ne pas continuer à écouter Morjana dont elle ne comprenait pas un mot sur deux. Surtout qu'elle la tutoyait , tout de même! Elles n'avaient pas gardé les hippogriffes ensembles! Lorsque la traduction du jeune homme vint, elle y prêta plus d'attention. Puis, elle dû réprimer un sourire lors des corrections des deux demoiselles. Elle préféra les arrêter.
"Je doute que ce soit absolument nécessaire. Je pense que tous ici ont compris l'allusion."

[Désolé pour toi Alice ]

Kevin se retourna prestament vers Morjana :

- C'est vrai que sous le soleil est quand même mieux que les feux de l'amour que tu suis avec grande attention Morj !

Puis ce fut la nana du fond qui s'en
mêlé en se rapprochant de quelques siège au plus grand plaisir de Kevin :

- D'un coté je me dis qu'il vaut mieux avoir des poussins qu'un gros Single sur mes sous vetements !

Sourire narquois !

*Et oui poulette j'ai vue ta superbe culotte blanche !*

Kevin se retourna vers Enimia, lui réacordant toute son attention et la remerciant intérieurement:

- Merci !

Et extérieurement aussi. [c'est pas un sous entendu c'est pour le merci ]

Morjana fronça le sourcil et fit bas à Kevin:

- Hep hep petit gars fais pas le fou ou je monte sur la table et j'leur décris en détail ton calcif. M'cherche pas.

Elle regarda la fille aux yeux mauves.

- T'as vraiment les yeux mauves? Sérieux là?

Elle s'approcha pour regarder.

Voyant que sa cousine n'en avait rien à faire il ne répéta pas sa question. Il n'avait pas répondu quand Kevin l'avait invité ainsi que Enimia à venir discuter avec eux.
*Et comment on devrait parler ? Dans leur maudit language? sa jamais*

Mais sa cousine avait accepté il était aller s'installé à côté d'eux après tout il devrait les cotoyer pendant toute l'année... même s'il ne les appréciaient pas il les supporatait encore même si se n'était pas des sangs mêlés qui n'avait aucune éducation.

*Pourvu que l'année passe vite...*

Et puis il avait continuer à écouter la conversation mais la conversation était si futile....

*Parler de sous-vêtements mais quel éducation!*

Et puis il prit enfin la parole pour au moins qu'ils arrêtent de parler de leurs sous vêtements:

" Sinon jouer vous d'un instruments ? Moi je joue du piano et de la basse. "

Le changement de conversation était radicale car il n'avait pas trouver mieux.

[Ma culotte était noire Kevin XD Même si t'es un gros pervers tu vois toujours aussi mal]

- D'un coté je me dis qu'il vaut mieux avoir des poussins qu'un gros Single sur mes sous vetements !

Cela ne fit que ricaner la jeune fille, même si l'évènement en soi était plutôt gênant. Mais bon elle s'attendait à recevoir des commentaires du genre, et mieux valait répondre à la morsure par une autre morsure.

"J'savais que les gros pervers resteraient tiqués sur cette information. Enfin j'peux pas t'en vouloir, c'est normal que les fesses des filles t'intéressent."

En disant cela elle ne put s'empêcher de loucher avec un sourire mauvais vers la brunette qui paraissait néanmoins un peu moins précieuse sous sa couverture de parfaite petite bourgeoise conservatrice.

- T'as vraiment les yeux mauves? Sérieux là?

Elle se tourna vers Morjana. Ah oui, cette question.

"Bah euh, à moins que tu sois bigleuse oui, j'ai les yeux violets . Et j'men porte pas plus mal, y'en a qu'on le teint vert bah moi j'ai les yeux violet..."

Alice avait un peu de difficulté à parler sans son éternel ton sarcastique.

" Sinon jouer vous d'un instruments ? Moi je joue du piano et de la basse. "

La jeune fille ne se tourna même pas vers le blondinet, il n'en valait pas l'intérêt.

Elle hocha la tête vers Kévin, pour signifier 'de rien'.
"Miss Saidi, je pense que vous pouvez bien monter sur la table et faire ce que vous voulez. Vous ne réussirez qu'à vous faire très mal voir de l'équipe professorale."
Son sourire disait qu'elle serait ravie d'assister à cela.
"En revanche, je serais ravie de connaître la signification du mot 'kif'."
Quand à miss-yeux-violets, elle restait visiblement fixée sur le physique.
"Pouriez-vous me donner votre définition de 'pervers'? Car je crains de ne pas la saisir. Ce jeune homme ne semble faire aucun mal."
Puis, elle s'adressa à son cousin sur le même ton:
"Certes, intéressant. Je pratique également cet art. Je vous propose d'en discuter plus tard, car j'ai peur que la conversation ne concerne que vous et moi."

"Pouriez-vous me donner votre définition de 'pervers'? Car je crains de ne pas la saisir. Ce jeune homme ne semble faire aucun mal."

Ah, la demoiselle en détresse venait au secours du Prince Charmant? Voilà qui était peu habituel.
Alice se contenta d'un sourire en coin, puis elle appuya son coude sur la table de manière à bien voir la Lady.

"J'vais t'expliquer un truc, Mignonette. Les mecs, dès que ça se rend compte que ce qu'il y a dans le pantalon c'est pas là pour faire joli, ils pensent qu'à ça. Interroge le Poussin, si il est moindrement honnête il avouera qu'il t'a reluqué des milliers de fois depuis le début du dîner."

C'était certes une opinion arrêtée, mais rien n'empêchait qu'il y avait une part de vérité dans ce que la jeune fille disait. Et même si ça ne plaisait pas, Alice n'allait pas se mettre à changer ses idées pour le plaisir des autres.

Enimia agrandit son sourire et se pencha vers la demoiselle.
"Quand bien même ce serait vrai, je trouverais ça flatteur."
Elle finit son verre, avant d'ajouter:
"Maintenant, ce qui serait intéressant, ce serait ton explication. Que cherchais-tu à prouver?"
*A moins, que ce soit la jalousie.*

"Miss Saidi, je pense que vous pouvez bien monter sur la table et faire ce que vous voulez. Vous ne réussirez qu'à vous faire très mal voir de l'équipe professorale."

Morjana la regarda, étonnée.

- S'cuse, miss, mais j't'ai pas parlé à toi, j'avais dit petit gars, a moins que tu sois un p'tit gars j'vois pas pourquoi tu la ramènes...

Elle fut encore plus étonnée par la question suivante:

"En revanche, je serais ravie de connaître la signification du mot 'kif'."

- Kif du verbe kiffer, verbe français, je kiffe tu kiffes il kiffe nous kiffons - t'as vu Kevin comment j'connais trop le bescherelle - qui veut dire en gros que t'aimes bien un truc. Tu connais vraiment pas, mais tu sors d'où? T'étais enfermée dans un donjon ou quoi?

A Kevin qui la regardait bizarre elle fit un peu bas:

- Donjon, t'sais comme le gag de Gad el Maleh, la fille de onze ans qui a la pneuuuumeuuniiiie. J'crois ça veut dire un château.

La fille aux yeux mauves s'incrusta - en fait elle répondait à la question de Morjana mais on s'en fout elle s'incrustait:

"Bah euh, à moins que tu sois bigleuse oui, j'ai les yeux violets . Et j'men porte pas plus mal, y'en a qu'on le teint vert bah moi j'ai les yeux violet..."

Morjana sourit:

- Ah ouais ouais j'ai rien contre hein, c'est pas choquant, et puis t'aurais pu avoir l'air constipé par exemple hein t'es pas à plaindre. C'est joli même. Oh la la j'commence à dire joli ça y'est i m'ont contaminée.

Princesse causa alors à la fille aux yeux mauves non violets s'teu plait.

"Pouriez-vous me donner votre définition de 'pervers'? Car je crains de ne pas la saisir. Ce jeune homme ne semble faire aucun mal."

Morjana ne pouvait pas laisser passer, honnêtement:

- Oh tu le défends et tout....

Mine narquoise.

"J'vais t'expliquer un truc, Mignonette. Les mecs, dès que ça se rend compte que ce qu'il y a dans le pantalon c'est pas là pour faire joli, ils pensent qu'à ça. Interroge le Poussin, si il est moindrement honnête il avouera qu'il t'a reluqué des milliers de fois depuis le début du dîner."

"Maintenant, ce qui serait intéressant, ce serait ton explication. Que cherchais-tu à prouver?"

Morjana commença doucement à sourire, puis son sourire s'élargit et elle attrapa Kevin par le cou pour l'approcher et chuchota

- T'as vuuuu on dirait elles se mangent pour toi là, t'as décroché le gros lot mec oww!!!

Brandon ne voulut rien ajouter à la dispute qui commencait.... Il avait simplement dit à sa cousine avant qu'elle ne rèponde à celle qui avait les yeux violets :

"Hum je penses que je serais ravie d'en discuter avec vous...."

Puis il n'avait dit plus rien et il avait commencer à regarder la scène en soutenant mentalement sa cousine.

Kevin regardait les filles s'envoyer des joutes verbales et pour une fois dans sa vie, il suivit les conseils de son père en se souvenant bien de sa voix raisonnant dans sa tête :

*Mon fils ! Quand deux femelles se battent pour t'avoir surtout ! Tu n'agis que si ça commence à saigner ! Pour le reste tu admires le spectacle*

C'est donc avec un sourire béat qu'il les regarda se balancer des choses à la figures le concernant.
Il explosa n'amoins de rire à l'explication du mot kiffer. Puis elle lui parla de Gad Elmaleh ... ça pour connaitre il connaissait douceuement il entonna :

- Et c'est une petite fille de onze ans .... qui à la pneumonie ... Raaaaaaaa je préfére petit oiseau moi morj !

Puis les filles devirent un tantinet violente dans leurs répliques, son sourire s'agrandit alors qu'il basulait attraper par Morjana :

- Tain chuis trop doué !!! Laquelle des deux à ton avis et le plus dessus ?

- Tain chuis trop doué !!! Laquelle des deux à ton avis et le plus dessus ?

Morjana lui baissa le cou et fit posément:

- Ow doucement, j'ai dit 'on dirait', j'ai pas dit elles se mangent pour toi. Toi vite fait t'as cru et tout....
En fait j'crois c'est un truc relou de rivalité mais n'empêche vas y souris et fais le malin t'as vu comme ça les gens i vont croire que t'as deux meufs qui s'amochent pour ta gueule. Allez, sourire colgate et tout l'équipement qu'est ce t'attends?

"Quand bien même ce serait vrai, je trouverais ça flatteur."

Alice se contenta de sourire. Si les rugbymen blonds l'intéressaient, grand bien lui fasse...

"Maintenant, ce qui serait intéressant, ce serait ton explication. Que cherchais-tu à prouver?"

Essayant de faire abstraction des deux autres qui insinuaient qu'elle se battait avec Miss De La Haute, pour le Sieur Blond je vous prie - non mais suffisait les insultes!

"Oh, c'est pas une question de prouver quoi que ça soit. C'est juste que manifestement, dans la Haute Société, ils ne vous apprennent pas les dangers que présentent le sexe opposé dans de vraies conditions. Ici c'est pas le palais Buckingham, c'est une école où il y a des jeunes qui se côtoient tous les jours, et c'pas tout le monde qu'à été élevé dans la dentelle et les cocktails fatal glamour. Après, si tu veux vraiment que le loup entre dans la bergerie, c'est ton choix, hé."

Dire, qu'elle avait cru, un court instant, qu'on pourrait faire quelque chose pour eux.

Au lieu de cela, la discussion commençant véritablement à l'ennuyer, elle parcouru la salle du regard.
Acquieçant vaguement aux alléguations de miss aux yeux mauves et des deux autres.

Puis, son regard accrocha une silhouette. Un garçon de Nebulae, à la
peau sombre absolument magnifique et qui se tenait bien, signe
d'éducation.

*Merveilleux! Tout espoir est permis!*

Ayant à peine suivie la discussion, il lui fallu quelques instants pour se souvenir des derniers mots.

*...loup entre dans la bergerie...*

Ah, c'était donc cela.

"Navrant. Enfin, ne soyez pas hypocrite au point
de sembler surprise de me voir préfèrer les discussions avec les
garçons plutôt que celles des filles, déjà répétées tellement de fois."

Lissant sa jupe sur ses cuisses dans l'espoir d'y découvrir quelques
centimètres supplémentaires, elle parcourait la salle et la table des professeurs du regard. Puis, avec une discrétion prouvant un art consommé, elle revenait souvent sur un point du lointain, le jeune métis de Nebulae.

Kevin leva les yeux au ciel décidant d'intervenir :

- Vous êtes absolument ridicules toutes les deux !

Puis se rasseyant correctement sur le banc, il l
es ignora complétement préférant lui aussi observer les autres élèves.

Guillaume s'approcha de la table de ses élèves et s'installa à coté de Alice et proche de Brandon :

- Bonsoir les jeunes ! Alors ce début d'année ! Comment vous vous sentez ? J'espère que vous êtes prêt à tout pour que nous gagnons la coupe !

Enimia se tourna vers Kévin et un sourire mi-amusé, mi-ironique aux lèvres.
"Vraiment?" Dit-elle d'un ton ironique qui ne supportait pas de réponse et surtout qui sonnait comme un *Et vous?*.

Puis, son sourire redevint plus agréable pour se tourner vers le directeur de demeure.
"Monsieur."
Elle n'avait pas envie de répondre à ses questions et n'en fit donc rien.

Guillaume posa son regard sur enimia :

- Mademoiselle ! Je vous écoute puisque vous prennez la parole !

Enimia qui venait juste saluer son directeur de demeure avait en l'instant juste envie d'envoyer s'encastrer dans le mur tout ceux qui n'arrangeait pas sa soirée, lui y compris.
Levant les yeux au ciel, elle le fit remarquer par une question qui n'attendait pas de réponse:
"Pénalisez-vous la politesse, professeur?"
Enfin, elle reprit son sourire qu'elle ne perdait jamais vraiment, puis commença d'un ton poli:
"Bien, allons-donc! Pendant la répartition, vous avez pu voir que ça ne s'était pas passé en beauté et en sympathie."
Plus interrogative et peut-être aussi pour éviter de répondre au reste, elle continua:
"Vous attendez donc que nous nous départissions de
toute politesse pour parvenir à gagner l'estime provisoire et futile de
ce chandelier?"

En entendant le professeur arrivé Brandon essaya de se faire le plus petit possible.
*Que venait-il faire ici?*

Et puis le professeur dit à Enimia de parler et il se fit encore plus petit en entendant ses paroles...

Il espèrait qu'il l'oublirait, il n'avait pas envie qu'on le tutoie ou qu'on lui rapelle qu'il à dût s'excuser pour une chose qu'il ne regretait pas d'avoir dit.

Guillaume piocha dans un plat de frite et regarda longuement Enimia alors qu'elle lui répondait :
- Puisque je suis votre professeur, je vais me donner le droit de vous appelez par votre prénom ! Enimia ... je pense que vous n'avez pas comprit le but de la répartition ... Tout comme beaucoup d'entre vous ...
Il piocha dans le plat et attrapa une autre frite :
- Pensez vous vraiment que le chandelier voulez vous embétez ... Il a un parlait certe franc ... mais si vous vous vexez pour ce qu'il a dit ... je ne vois qu'une seule solution ... il a raison ... de toute façons le chandelier à toujours raison !
Il avala la frite
- Je vous trouve très intolèrente Enimia ! Idem pour Brandon ! Depuis quand vous jugez les gens sur leur sang ! Tout aussi bien chacun des sang de bourbes comme vous les appellez, présent dans cette salle vaut 100 fois plus que vous ! Pour ma part je ne tolèrai plus jamais de tel mot de votre bouche !
Il leva sa baguette et les plats salée disparurent laissant place à de délicieuse tartes aux fruits. sans demander l'avis des élèves, il en découpa une en 6 part et chacun des élèves fut servis :
- Les évènements de tout à l'heure sont certes regrettable, mais comme vous nous ne pouvions prévoir alors cessez de repprocher aux autres ce qui peut vos arrivez un jour ! Maintenant goutez moi cette tarte ! Spécialité d'ici ! Un régal !

- Je vous trouve très intolèrente Enimia ! Idem pour Brandon ! Depuis quand vous jugez les gens sur leur sang ! Tout aussi bien chacun des sang de bourbes comme vous les appellez, présent dans cette salle vaut 100 fois plus que vous ! Pour ma part je ne tolèrai plus jamais de tel mot de votre bouche !

*Mille bouse de dragons je rêve ou il m'insulte, je ne pense pas qu'ils valent mieux que moi! Une lettre à mon père va finir par être écrite en espèrant qu'il puisse faire quelque chose*

Il montra un visage neutre au professeur puis il lui dit par pur politesse:

" Comme vous voudrez monsieur."

*Vous ne m'empecherez pas de le penser par contre.*

Quand il vit lun morceaux de tarte arriver devant lui il n'y toucha pas et fit comme s'il attendait que les autres commence à manger.

L'homme ne lui plaisait pas. Enimia n'aimait pas qu'une personne qui n'était pas son père, ni son oncle, ni personne pour elle, s'interpose ainsi.
Tout d'abord, il l'appelait par son prénom, montrant qu'il ne la respectait aucunement; ensuite, commença à lui expliquer qu'elle n'avait rien compris; puis, lui rappela que le chandelier avait peut-être raison; continuait en la condamnant pour une faute qu'elle n'avait pas fait ni même dite; enfin fit preuve du plus total mépris en lui servant une part de tarte alors qu'elle avait l'estomac à l'envers. Elle préférait oublier qu'en plus il n'avait aucune manière.
Elle détourna la tête en ne pouvant réprimer en pensée un *Oh Merlin, mais où suis-je tombée? Si même les professeurs ne montrent aucun respect.*.
Il lui fallu plusieurs secondes pour retrouver le sourire et un ton poli, se contentant de fusiller son interlocuteur du doigt.
"Monsieur, je ne tiens pas à vous faire perdre votre temps en explications sur la répartition. Je ne suis sûre d'y être attentive, ce soir."
*Comme tous les autres jusqu'à ce que vous vous comportiez comme un professeur et non comme le plus mal-poli des élèves.*
Elle préféra laisser le sujet du chandelier de côté, même si quelques répliques très séduisantes venait à son esprit.
"Vous me trouvez intolérante? Excusez-moi si je me trompe mais y ai-je fait référence pour le moment? Ai-je seulement prononcé l'expression que vous avez nommée? J'ai cherché à discuter avec cette demoiselle qui vient visiblement des moldus, ce jeune homme qui semble n'en connaître pas plus en magie. Et vous me trouvez intolérente?"
Pour terminer, elle désigna la tarte:
"Je suis certaine que j'aurai eu plus d'appétit si vous m'aviez aidé pendant cette attaque de ces innomables."
*Vous êtes abject de manquer à ce point de courtoisie, même élémentaire!*

- Je ne parles pas de votre intolérance face au moldus mais fasse au chandelier magique mademoiselle de Belibaste ! Gronda le professeur.

Il avala un bout de tarte en la foudroyant du regard ses yeux profondément ancrés dans les siens avant de continuer d'un ton beaucoup plus calme.

- Je trouve d'ailleurs votre comportement exemplaire ! J'ai bien entendue noté le fait que vous vouliez vous rapprocher du restes des élèves en ne tenant point compte de leurs différences avec vous et je trouve cela très bien de votre part ... C'est même admirable ! Pour ma part vous avez marqué un bon point pour cette action !

Il la regarda et croisa finalement les bras :

- Je suis votre professeur effectivement et même votre directeur de maison ! Et je protégerai chacun de mes élèves au péril de ma vie si cela était nécessaire ! Mais vous vous devez d'accepter chaque être humains avec ses défaults ! Cela va vous paraitre bizarre pour un professeur mais j'ai moi même de gros défaults !

Il posa ses mains sur son visage et s'accouda à la table :

- Enimia ! Parlez sincérement je ne vous en tiendrais pas rigeur ... Quels sont mes défaults ? Du peu que vous me connaissez néamoins ...

Enimia, qui n'était absolument pas conviancue par le manège du professeur, serra les dents. Il fallait bien qu'elle se retienne de lui lancer un maléfice cuisant.
*Si vous parliez du chandelier, en quoi l'expression odieuse était-elle à propos dans votre petit discours?*
"Je ne vous connais pas monsieur. De plus, je n'ai pas la position d'être votre juge, sauf bien évidemment si vous m'y forcer. Mais ce cas, je ne vous le souhaites pas."
Elle élargit son sourire, comme si elle s'apprêtait à faire une bonne farce.
"Mais, pourquoi ai-je la désagréable impression que vous cherchez à m'acheter à coup de compliments?"