[3 septembre 2007]

La salle des souvenirs... C'était là que Palabretti, l'emmenait, mais, bien sûr, elle ne le savait pas. Le lieu était moins impressionant que le hall de par son architacure. Au niveau de ce qu'il contenait, en revanche, on aurait pu s'y arrêter longtemps. Seulement, étant donné la présence du professeur, elle n'osa pas s'intéresser de trop près aux objets qui l'entouraient, et se contenta d'attendre sagement, repassant d'une main ses longs cheveux blonds derrière son épaule. Elle accorda un sourire à l'homme aux cheveux gris qui se tenait en face d'elle. Elle l'aimait bien lorsqu'il lui donnait des cours par correspondance, et, maintenant qu'elle l'avait en face, elle l'appréciait de plus en plus. Il avait des allures paternelles qui l'enchantaient. Même si elle ne comprenait pas pourquoi il l'avait emmenée dans cette salle toute de cristal bâtie.

Nicolas regarda lea jeune fille et la suivit lorsqu'elle avança sur le sol en cristal :

- N'ayez pas peur !

Il tapa des mains et un siège apparut se formant dans le cristal de la pièce pour que la jeune fille s'y installe. Il était entièrement ouvragé de miniscule sculpture.

Nicolas s'avanca dans la pice et se glissa à travers le cristal pour aller dans le compartiment ou se trouver le mimbulus mimbletonia. il en revient quelques instant après avec le jolie chandelier en argent ornés des 4 animaux représentant les maison et aussitôt une colone apparue juste devant le siège de la jeune fille.

Nicolas pointa sa baguette vers le chandelier qui s'éveilla.

Le chandelier se réveilla doucement et commença par se courber dans tous les sens :

- Raaaaaaaaaaaa ... On n'arrête pas de me réveiller ses derniers jours !!!

Il se redressa et regarda la jeune fille avant de s'avancer vers elle :

- C'est donc toi la petite qui me vaut se réveil !!! Groumph !!!!

Il ferma les yeux et se mit alors a lui parler en pensée :

* Tu aimes décider ... ça va être dur pour toi cette année ... Tu es franche aussi ... ça te jouera des tours très chère ! Fais attention au praoles que tu prononceras cette année !!! Dis moi ...*

Le chandelier se rapprocha doucement d'elle :

*Aimes tu les défis ?*

Il sauta sur les genoux de la jeune fille et commença à lui grimper dessus jusqu'a s'être hissé jusqu'a ses yeux qu'il scrupta profondément.

Azenor observa les moindres gestes de Palabretti, se demandant où il venait en venir. Elle s'était assise, mais, à peine fut-elle dans cette position qu'elle se rendit compte qu'elle aurait préferé être debout, elle avait de l'énergie à dépenser, et celle-ci était décuplée par l'excitation qu'elle ressentait à être ici. Elle fit quand même un effort pour se tenir tranquille, tandis que le chandelier que venait de sortir le professeur (elle faillit lancer un 'bonjour Lumière, où est Big Ben ?', mais eut peur que cela ne soit pas du meilleur effet) se mettait à se tordre et à se plaindre de s'être fait réveiller Oh, elle n'avait rien demandé, elle, hein. Et, au moment où elle s'y attendait le moins, une voix s'imisça dans sa tête. Occlumancie ? Non, le professeur n'avait pas l'air de fournir d'effort particulier, et il en aurait fallu un peu, pour pénétrer son esprit, tout de même.

Elle reporta donc son attention sur le chandelier. C'était donc lui, qui lui parlait ? Elle eut un sourire quand à sa dernière question, et ne prit pas la peine de hausser la voix pour répondre. Après tout, s'il pouvait lui parler dans sa tête, il pouvait bien y lire ses pensées aussi. Elle pensa donc, tout simplement.

*Les défis ? Si tu connais tout de moi, comme tu as l'air de le penser, tu devrais le savoir, non ?*

Elle était incapable de résister à un défi. C'était un moyen de l'avoir facilement, ça, il suffisait de commencer sa phrase par 'chiche de...', et elle exécutait tout ce qu'on lui demandait.

Le chandelier se vexa :

*LA Question n'est pas de savoir si moi je te connais petite impertinente ! La question est de savoir si toi ... Tu te connais réellement ... Alors est ce que tu te connais ... Sais tu qui tu es réellement .... Je peux répondre à toutes tes questions ! Mais toi fait moi le plaisir de répondre aux miennes !*

Le concierge entra rapidement dans la salle suivit par Guillaume. Le chandelier remarqua immédiatement sa présence mais n'interrompit pas pour autant son attention sur la jeune fille.

Le concierge s'approcha donc de Nicolas et lui donna quelques explications avant de quitter rapidement la salle.

Nicolas hôcha la tête et s'approcha silencieusement de Guillaume alors que le chandelier poursuivait l'expérience avec la jeune Azenor :

- Bonjour Guillaume ... Je suis Nicolas Palabretti, ton professeur de Soins aux créatures magiques. Le chandelier que tu vois devant la jeune demoiselle va te répartir dans ta maison ! Mais il va te falloir être un peu patient en attendant ... Approche !

Il l'attira avec lui vers la jeune fille ou un second siège en cristal se forma au coté d'Azenor et ou Nicolas invita Guillaume à s'installer.

Guillaume ne répondit pas. Il était tout simplement subjugué.
Cette salle était de loin la plus belle chose qu'il ai jamais vu.

Même l'air semblait magnifié, sans parlé des bruits environnant. Tout dans cette salle respirait la pureté.

Puis ses yeux tombèrent sur la jeune femme, assise face au chandelier. Et soudain, la salle ne lui sembla plus si belle.
Ses longs cheveux blonds, sa peau bronzée...

Guillaume n'arrivait plus à détacher ses yeux d'elle. Il était partagé entre se lever, là, tout de suite, et se jeter à ses pieds, ou bien, (comme le lui dictait son éducation) rester assis et feindre l'indifférence...

Azenor faillit prendre la mouche lorsque le chandelier s'énerva, mais se dit qu'après tout, il serait assez stupide de passer pour une furie le jour de votre arrivée, devant un professeur, et tout ça pour un vulgaire objet, en plus. En plus de ça, elle entendit la porte de la salle s'ouvrir et un élève entrer. Elle n'osa pourtant pas détourner le regard du chandelier, de peur qu'il ne lui repproche de ne plus lui porter toute son attention, il savait apparemment ce qu'il voulait, et n'avait pas l'intention d'être dérangé, même pas par l'arrivée d'un ou une nouvel(le) élève.

*Eh ben... Ca doit pas rigoler tous les jours, chez vous.*, prit-elle la peine de lui répondre tout de même, histoire de compenser le fait qu'elle avait décidé de ne plus l'offenser en évitant ses questions.

*Oui, j'aime les défis, si tu veux tout savoir... Enfin j'aime. Ou peut-être que je ne les supporte pas, au contraire, tellement pas que, quand on m'en lance un, il faut à tout prix que je le relève... Selon comment on voit les choses... J'aime épater les gens, m'épater moi-même en relevant et réussissant les défis. Mais le défi en lui-même, je ne sais pas...*

Après cette longue pensée, elle s'autorisa tout de même un regard vers le nouvel arrivant, curieuse de voir de qui il s'agissait. N'osant pas regarder trop longtemps, elle eut juste le temps de voir qu'il s'agissait d'un garçon, à peu près de son âge. Il la fixait avec des yeux de merland frit, mais ça, elle avait l'habitude, et elle lui accorda donc un léger sourire, qui disparut presque aussitôt qu'elle reporta toute son attention sur le chandelier, oubliant déjà les présences autour d'elle.

Un sourire éclaira le visage du chandellier et la bougie surmontant le Tigre Tellis s'éclaira soudain :

*Brave fille ... Bienvenue dans ta nouvelle maison !*

Le chandelier s'écarta alors et regarda Guillaume. D'abord d'un air suspicieux, puis soudain, il bondit en l'air et une nouvelle colone de cristal se format juste devant le nez du garçon :

*Bonjour mon jeune ami ... hum ... Guillaume c'est ça ...
*

Il glissa doucement de son socle pour monter comme il l'avait fait avec Aznor sur les genoux du jeune homme. N'y parvenant pas il s'écria :

*Aide moi petit écervelé ! Raaaaaaaaaaa .... je veux voir tes yeux !!! *

Lorsque la jeune femme lui avait souris, Guillaume avait sentit une douce sensation de chaleur l'envahir, et avait eu l'impression que quelque chose venait d'exploser dans son ventre, pour libérer des centaines de petites bêtes à ailes...

Mon dieu, depuis quand était-il devenu aussi niais?

La voix résonnant dans sa tête le fit revenir sur terre.
Il regarda le chandellier tenter désespérement l'ascencion de son genou droit, avant de l'aider, non sans un regard moqueur.

*veuillez m'excusez, je ne vous avait pas remarqué*

Un grand sourire vint illuminer son visage, comme chaque fois que Guillaume faisait preuve d'humour (quoiqu'il puisse quelque fois être discutable...)

Le chandelier afin a la hauteur des yeux du jeune homme regarda profondément au fond de ses pupilles cherchant à voir ou a apperçevoir quelques choses. Soudain il poussa un exclamation de joie :

*MWOUAWOUAW !!! Un sudoué !!! ça fait bel lurette que je n'en avait pas vue mon bel ami ! Tu es inventif ! Et tu es avide de connaissance ... Ta maison est prédestiné par cette intelligence qui est en toi ... Pourtant ... un élèment te trahis ... *

Le chandelier se tut et ferma les yeux en secouant le haut de son corp de droite à gauche comem si il réfléchissait. finalement il réouvrit les yeux et demanda :

*Ressent tu de la haine mon garçon ... Et si oui ... Cette haine est t'elle plus grande que ta soif de connaissance ... *

Guillaume, tout d'abord effrayé (bien qu'il n'en montra rien) par le hurlement de joie du chandelier, puis flatté par ses paroles, fut plus que surpris par sa dernière phrase.

La honte et la colère se mellèrent en lui. Il n'aimait pas qu'on lise aussi facilement en lui, et encore moins que l'on découvre ce qu'il pensait n'être qu'à lui, une part de lui qu'il cachait, comme un trésor, un trésor dangereux.

Mais comme à son habitude, il prit le temps de se calmer avant de répondre, prudement.

*En effet...* il regardait le chandelier avec méfiance *En effet, je ressent de la haine... Mais cette haine n'est dirigé qu'envers une seule et même personne, et je suis capable de la contrôléer...* Ici, Guillaume marqua une hésitation. *En tout cas, elle n'est certainement pas plus intense que ma soif de connaissance! Je ne laisserais ni colère ni haine ni quoique ce soit entraver la route que j'ai choisi, et j'ai choisi d'intégrer cette école pour apprendre!* Bien que cela n'était pas la seule raison qui avait poussé Guillaume à accepter l'inscription à Beauxbaton, elle était suffisament importante pour avoir l'intonnation de la sincérité.

Guillaume regarda à nouveau le chandelier, mais cette fois-ci, avec un air de défi.

*... Et aussi pour échapper à ton père ... *

Le chandelier se tut un instant et ressotat sur son socle pour ce mettre à tourner en rond :

* Mon choix est difficile même si ça ta maison est claire pour moi ... Ton but est louable ... Venir dans cette école pour échapper à la tyrannie de ton père ... C'est vraiment un très beau geste pour montrer ton caractère ... Ici tu te formeras ... et tu grandiras aux cotés d'autres élèves de ton âge ... J'approuve ton choix et je le comprends ... *

Il s'arrêta un instant et observa fièrement Guillaume :

*Un jour peut être sera tu l'une des plus grande fierté de cette école ... C'est pourquoi j'ai choisi pour toi la maison qui t'aidera le mieux dans cette voie ...*

Aussitôt le cygne de Articia s'anima et la flamme jaillit du socle avant que le chandelier ne redevienne inanimer, ayant accomplit son devoir.

Nicolas s'approcha aussitôt après que le chandelier se soit rendormis un immense sourire aux lèvres :

- Vous faites dès à présent fièrrement partie de l'école Beauxbâtons !

Il les regarda tour à tour et fit apparaitre ce qui semblait ressembler à deux écharpes de couleurs distinctes :

- Je suis désolé que ça ne soit que moi et pas vos directeurs de maisons qui vous remettes ses écharpes comme le veux la traditions, mais des évènements inattendus ont surpris notre journée ! Et mademoiselle Clairbois et monsieur Delon ont été envoyé en mission ... De ce fait, c'est moi qui vous les remet !

Il s'approcha D'azenor à laquelle il remit l'écharpe couleur jaune et marron. Puis il tendit la seconde au différents tons bleux à Guillaume.

- Normalement vous auriez du passer le reste de la journée en uniformes scolaires ... mais en vue des évènements, vous n'avez pas cours ... je vous autorise donc à rester dans ses tenus ! Mais demain ! Uniformes tous les deux que ça soit bien clairs !

Il leurs sourit une nouvelle fois :

- Je pense que vous avez hâte de découvrir le château et aussi de faire la connaissance de vos camarades ! Donc n'hésitez pas !

Il regarda d'abord Azenor :

- Il me semble avoir vue un groupe d'élève de Tellis au stade mademoiselle quand à vous monsieur d'Harcours ... Les élèves d'Articia sont sans doutes pour la plupart à la bibliothèque ...

Ils leurs fit un clins d'oeil et les invitat à quitter la salle de cristal.

[prochain post dans le hall.]

Guillaume se leva, salua le professeur d'un signe de tête, et sortit de la salle, non sans l'observer une dernière fois.

Mais une fois sorti, plutôt que d'emprunter la direction de la bibliothèque ou de sa chambre (il ne savait de toute manière pas où elles se trouvaient...) il prit le parti d'attendre la jeune femme.

Il ne connaissait toujours pas son nom, et de toute manière, il allait bien falloir qu'il lie connaissance avec quelqu'un un jour ou l'autre.
Et si il devait être totalement sincère avec lui même, il devait avouer que le charme de la demoiselle l'avait grandement aidé à prendre cette décision...

Azenor accepta la répartition sans broncher, elle ne connaissait pas trop les différentes demeures, et on aurait pu lui dire qu'elle était à Tagadatsointsoin que ça ne lui aurait pas fait plus d'effet que ça. Mais de savoir que ses camarades étaient au stade en ce moment-même suffit à la rassurer : il n'y avait pas de doute, il s'agissait bien de sa demeure. Elle salua la sortie du professeur qui les accompagnait d'un signe de tête et s'apprêtait à rejoindre le stade en question lorsqu'elle se rendit compte que le garçon qui l'avait suivie durant la répartition l'attendait à la sortie. Elle se doutait bien que ça, elle le devait sans doute à sa mère. Seulement, si elle s'était arrêtée à ce détail, elle n'aurait eu aucun ami mâle et donc, elle décida qu'après tout, elle pouvait bien s'arrêter pour discuter un moment, et fit comme si de rien n'était.

"Salut.", fit-elle, engageante. "Je suppose que tu viens d'arriver ici, évidemment. Moi aussi. Azenor, au fait.", dit-elle pour se présenter, en faisant passer ses cheveux dans son dos.

[On va poster dans le hall, plutôt, histoire de pas encombrer cette pièce. Réponds là-bas, je te suis]

[>Hall]

Guillaume entra dans la salle et tapa des mains une fois à l'intérieur pour que le siège de Cristal se forme :

- Installe toi ! Je vais chercher le chandellier.

Comme avait procédé Nicolas aurparavant, il pénétra dans l'immense colonne de cristal.

Jamel entra, un peu dégoûté quand même, la belle gadjie regardait que le renoi 'Oooh monsieur Delooon'.
Jamel qui ne connaissait que sommairement le quidditch, bien plus intéressé par le ballon rond moldu que par le vif d'or volant, ne connaissait pas du tout le célèbre joueur. Donc, il était dégoûté.

Il s'assit quand même.

"...."

Guillaume ressortit quelques instants après de la colonne et déposa prudement le chandelier sur la colone de cristal qui se forma devan Jamel, il se recula pour se mettre à coté de d'Azenor :

- Pas mal cette rencontre en effet ... Lui dit-il en souriant.

Il pointa sa baguette vers le chandelier et le laissa agir.

Azenor se rendit compte qu'elle avait bêtement suivi son instinct de grande admiratrice, sans réfléchir, bien sûr. Elle se retrovuait dans la salle de cristal, à observer la répartition de quelqu'un qu'elle ne connaissait même pas. Elle souhaita très fort que quelqu'un d'autre la suive, la fille qui accompagnait le garçon, par exemple, ou bien le garçon qui l'accompagnait, elle. Elle n'avait plus qu'à dégager un maximum de charme vélanesque, ce qu'elle faisait presque malgré elle, d'ailleurs, la présence du célèbre joueur de Quidditch ayant éveillé ses instincts les plus basiques, bien qu'elle ne trouve pas grand chose à dire... Elle aurait pu parler du match du mois dernier, mais elle avait peur d'ennuyer son nouveau professeur, à la longue.

Jamel se retourna sur son 'siège', regarda le prof qui parlait à la belle, tranquille quoi. Pas de mode d'emploi à l'horizon, rien. Il aurait bien voulu demander mais passer pour le behloul de service auprès de la blonde et du professeur, plutôt kaner.

*Pitaine la galère.. J'fais quoi là zerma, j'reste devant ce chandelier ...?*

Le chandelier c'était fait discret, ne bougeant pas d'un poil, essayant de perçevoir les moindre pensez de Jamel ... Voyons voir si le petit était patient.

*hummmm Tension ... Impatiente ... Jalousie ... *

La voix raisonna dans la tête de Jamel

L'après midi prennait fin, et tous les élèves étaient conviés au repas dans le refectoire

[Merci d'utiliser les topic du 3 septembre déjà existant et de ne pas en créer de nouveau]

Peter se précipita dans la salle en cristal et a peine fut-il entrer que ses pas raisonnèrent avec mélodie sur le sol.
Aussitôt la pièce se métamorphosa et laissa un espace vide jusqu'à la colone de Cristal [C'est un peu comem sur la salle sur demande, elle favorise ce qu'on veut faitre à l'intérieur].
Ralentissant l'allure, le jeune garçon s'avança donc à la lueur de la lumière bleuté et regarda la colonne un peu stupéfait. Il s'avança encore et encore jusqu'à être a porté de main de la colonne de cristal qu'il effleura doucement du bout des doigts.
A son grand étonnement, ils glissèrent sur la surface comme si c'était de l'eau :

- Woaaaw !!! s'exclama t'il éberlué.